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 Un jour morbide

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AuteurMessage
Phoebe L. Parker
FondatriceI learn to live half alive...
Phoebe L. Parker

✿ Nombre de copies rendues : 1252
✿ Nous a rejoint le : 15/09/2012
✿ Humeur : Is it over yet ? Can I open my eyes ?
✿ Citation du moment : There's gonna be good things and there's gonna be bad and the best way to overcome the bad is to just not let anybody... rain on your parade and to just keep going. Now I look and I say, you know... that nothing is impossible. ▬ Lea Michele
✿ Célébrité sur l'avatar : The definition of courage : Lea Michele ♥

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MessageSujet: Un jour morbide   Un jour morbide I_icon_minitimeDim 28 Oct - 16:04


Phoebe



Ҩ « Puis il accueillit la mort comme une vieille amie qu'il suivit avec joie et, tels des égaux, ils quittèrent ensemble cette vie. » J. K. Rowling


-Réveille toi ma chérie, c'est l'heure.
J'entendis à peine la voix de ma mère, étant encore trop endormie. Je la sentis me secouer doucement, je grognais, ne voulant ni me réveiller, ni me lever. Mais elle ne voulait pas lâcher l'affaire.
-J'arrive, j'arrive... arrête, marmonnais-je.
Elle s'arrêta, me disant qu'elle me laissait dix minutes, avant de sortir de ma chambre. Une fois qu'elle eut refermer la porte, je pris quelques minutes avant d'enfin me lever. J'attrapais mes affaires et allait sous la douche, ce qui me permit de me réveiller un peu. Puis je m'habillais et descendis enfin. J'attrapais rapidement quelque chose de facile et rapide à avaler, puis attrapais ma veste.
-On va où ? demandais-je à mes parents pour la... centième fois depuis hier.
-Tu le verras ma chérie, sois patiente, me répondit ma mère.
J'étais exaspérée. Pourquoi ne rien me dire ? N'aillant d'autre choix, je les suivis, montant dans la voiture, mes parents à l'avant, moi à l'arrière. Comme toujours, mon père mis un CD, et nous finîmes tout trois à part chanter, même si des cours de chant auraient été bénéfiques à mon père. Autant il était excellent en fait de danse, autant il était pitoyable en fait de chant ! Je tenais ma sublime voix de ma mère à dire vrai, et malheureusement, je n'avais pas hérité du talent de mon père. Tandis que je réfléchissais, je sentis tout à coup que mon père perdait le contrôle de la voiture, je ne comprenais pas ce qu'il se passait, tout allait beaucoup trop vite. Je sentis tout à coup que la voiture décollait littéralement de terre, et entrait dans quelque chose, quoi je ne sais pas. Je criais, en proie à de la panique. Je me sentis passer par une vitre, je ne comprenais rien, vraiment rien, je ne savais même pas comment il était possible que je sois éjectée de cette voiture. J'échouais pitoyablement par terre, me cognant fortement la tête contre le sol dur. Ma vision se fit floue, mais pas assez cependant car je pus voir la voiture prendre feu. Ensuite, ce fut le trou noir.

• • •

Lorsque je repris connaissance, j'étais dans un lit, une jambe et un poignet dans le plâtre. J'avais fort mal à la tête. Qu'est-ce qui s'était passé ? Les dernières images de la journée... ou la veille ? me revinrent en mémoire peu à peu.
-MAMAN ! PAPA ! beuglais-je d'un seul coup.
Une infirmière et un docteur accoururent dans la chambre, alertés par le bruit. L'infirmière posa une main sur mon front.
-Calmez vous mademoiselle, vous avez besoin de repos.
-J'ai besoin de voir mes parents, s'il vous plait !
Je ne voulais pas me reposer, je ne voulais pas me calmer, je voulais juste m'assurer qu'ils aillent bien. Etait-ce vraiment trop demander ? Apparemment. Voyant que je ne cèderais pas et insisterais pour voir mes parents, on m'administra de suite un calmant qui eu pour effet de m'assommer quasi instantanément. Lorsque je me réveillais de nouveau, quelques heures plus tard, je n'eus d'autre choix que de me lever et de tenter tant bien que mal de marcher hors de cette maudite chambre. Derechef, une infirmière se présenta vers moi, mais cette dernière sembla plus compréhensive et accepta de m'amener à mes parents. Quoi qu'en fait, ce n'était pas " mes parents " mais plutôt ma mère. Elle me fit comprendre que mon père n'était plus, et sembla désolée en voyant mes yeux s'embuer de larmes. Une fois dans la chambre de ma mère, je fus horrifiée en voyant l'état du visage et du corps de cette dernière qui était complètement brûlé. J'eus un haut le coeur tout d'abord, mais me forçais à avancer vers elle, pleurant de plus en plus. Comme si elle avait senti ma présence, elle bougea légèrement sa main " valide " et marmonnant.
-Maman...
Je m'approchais et attrapais sa main. Je ne voulais pas qu'elle meure, mais je n'avais pas un bon pressentiment. L'infirmière n'avait rien dis la concernant, mais justement... était-ce une bonne nouvelle ? Si elle était destinée à s'en sortir, elle me l'aurai dit. Là rien. Je gardais mon regard posé sur ma mère, bien que j'eusse quelques difficultés à la voir puisque les larmes me brouillaient la vision. Je pris sa main, la serrant doucement. Elle voulait me parler, mais n'y parvenait pas. J'avais envie de me blottir contre elle, mais je ne pouvais pas, je ne devais pas. Je ne parvins qu'à sangloter un « Je t'aime ». Quelques secondes plus tard, j'avais également perdu ma mère.


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