Matthew Spencer

les hommes c'est comme le charbon: c'est sale, ça vaut rien et ça chauffe quand on le tripote ! Mais certains se transforment en diamant, alors autant en avoir le plus possible..

— Nom : Spencer mon cher
— prénom(s) : Matthew, ou Matt pour les intimes
— age : 21 bougies
— date et lieu de naissance : le jeudi 19 juillet 1992 au Memorial Hospital de Boston
— orientation sexuelle : je suis gay.
— situation maritale : en couple avec Caleb, et heureux.
— métier /études : étudiant à la NYADA
— option(s) : chant Bertrand
— année : quatrième année héhé !
— groupe  : danse spé moderne

Et toi... T'es comment ?

Je mesure un mètre et quatre-vingt un centimètres pour soixante-cinq kilogrammes. J'ai les yeux d'un noisette profond, avec de longs cils, un regard persant et déstabilisateur parfois. Sinon j'ai des traits plutôt fins, avec un peau légèrement colorée, tirant vers le mate. J'ai toutes mes dents, bien blanches, un petit nez et des lèvres fines, des cheveux chatains, changeant de coupe fréquemment, mais plutôt courts. J'ai une silouhette plutôt mince, un peu musclée mais sans plus. On peut me décrire comme métrosexuel. J'aime prendre soin de moi, de mon teint de peau. Je m'épile, et alors ? Je préfère la cire au gel et au sel coiffant. Je porte du Bleu de Channel comme parfum, et un déo Axe. Louis Vuitton et Abercrombie and Fitch sont mes meilleurs amis. Vous l'aurez compris, j'ai un look plutôt BCBG. Bon chic bon genre, ou même beau cul belle gueule, à vous de voir.

Je suis de nature plutôt enjouée et positive, bien que gamin sur les bords, je sais aussi me montrer sérieux. Souvent mure et réfléchi, je suis un éternel insatisfait à cause de mon égo surdimensionné.. Je rigole bien entendu ! Même s'il est vrai que je m'aime, et que je suis un poil égocentrique, égoïste aussi. Sinon je me soucie de mon prochain, je suis quelqu'un d'attentionné, à l'écoute, joueur, et généreux. Je ne pardonne pas facilement et je n'oublie jamais, mais je sais très bien relativiser. Je suis maniac et très perfectionniste, à tel point que ça en devient maladif. Humain, marrant, je sais être patient et compréhensif. J'aime à me ré-inventer et donc à me redécouvrir tous les jours. Je suis quelqu'un d'épanoui sur tous les points. Et enfin, je suis homosexuel. Je sais que ça ne fait pas tant partie de mon caractère que de ma personnalité, ou même de mon tempéramment, mais ça fait partie de moi, alors je juge utile de le souligner..

Sous l'maquillage et les paillettes ?

— prénom/pseudo : Lucas/Lucandream
— age : 18 ans
— fille ou garçon ? : Garçon, aux vues de mon service trois pièces..
— comment as-tu connus le forum ? : Par hasard - Google est mon ami.
— ton avis sur nyada : Le forum a l'air de s'éveiller petit à petit, je suis sûr que je vais m'y sentir chez moi très rapidement !
— code du règlement : Ok by Pho
— Un dernier mot ? : Non, ou au pire Poulet.

C'est l'histoiiiiiiiiire de la vie.

faîtes l'amour, pas la guerre. Non, faîtes pas l'amour ça fait des gosses.. Faîtes des crêpes, c'est bien ça, des crêpes..

Me voici, accourant à bride abbatue sur la neuvième après Brooklyn pour rejoindre la station de métro la plus proche. Je slalome sur le trottoir noir de monde, manquant de percuter un passant à plusieurs reprises. J'atteins rapidement les escalators et me hâte de descendre en continuant ma courses sur la structure métallique. Je plonge ma main dans mon sac dont je rabat la bandoulière sur mon épaule d'un coup de bras. Après avoir tatonné pendant plusieurs secondes l'intérieur bordélique  d'une des pôches, je caresse enfin ce qui semble s'apparenter à une carte. Je la sors rapidement, et la tend vaillamment vers le bippeur de sécurité. Une fois mon passage autorisé, je fonce à toute allure vers les escaliers de la ligne 2 et enjambe les marches quatre par quatre. Un sifflement perse le brouhaha inaudible du cafarnaüm new-yorkais et le métro apparait, ouvrant ses portes au peuple. Je ne suis plus qu'à quelques mètres. J'évite le parapluie d'une vieille et m'engouffre dans l'habitacle. J'y suis arrivé ! La tension retombe et je reste là, le souffle court, les yeux fermés. Un petit sourire tire mes lèvres sur mes joues et je m'applique à respirer profondément. Fier de moi, je m'autorise un peu de répis, et sors mon Ipod. Les portes se referment sur les derniers retardatèrent, et je coiffe mes oreilles de mes écouteurs. La playlist est lancée. Je m'assois et tente de me détendre. Il me reste 15 minutes avant mon arrêt. Je m'appelle Matthew Spencer, mais vous pouvez m'appeler Matt. J'ai vingt et un ans, et je suis étudiant à la NYADA, ce qui est assez surprenant quand on connait un peu mon histoire. Mais bon, puisqu'il me reste du temps à tuer, laissez-moi vous la raconter.

Je suis né un jour pluvieux du mois de juillet 92, un jeudi plus exactement, le 19. Mon père était PDG d'une des plus grandes entreprises du pays, et ma mère passait ses journées à jouer au bridge avec des amies. Une vraie vie de bourges en somme. Papa a hérité d'une bonne partie de la fortune de son grand-père paternel pour tout vous dire, mais il n'a pas démérité de nous offrir la vie de rêve dont on a pu bénéficier. J'ai vécu une enfance paisible à Boston, dans l'une des plus belles villas de la banlieu résidentielle. Enchainant les réussites, mon père à voulu faire de moi son champion en me poussant vers la boxe. J'ai commencé à l'âge de 5 ans, et du haut de mes 7 ans je débutais à peine le violon. Entre le solfège et la chorale, mon goût pour la musique s'est rapidement développé, tout comme celui pour l'excellence, en réalité simple mirroir de la situation de mes parents, plus géniteurs que père et mère. Puis sont arrivés les combats officiels; je n'ai jamais vraiment apprécié la compétition sportive, même si elle me permettait de toujours me défouler. Quelques défaites par-ci par-là pour une majorité de victoires, je fis la gloire de mon père l'espace d'un instant, et celle de ma mère en entrant au conservatoire de l'Etat de New-York. Côté scolaire, j'ai toujours eu des facilités. Aussi ai-je sauté mon entrée en secondaire. Ainsi, mes vieux voyaient en moi la relève de l'affaire familiale, l'entreprise de mon père; j'incarnais tous leurs rêves, leurs envies... Mais ce n'était pas moi. Je n'étais que le produit de leur éspoir déchu et innacompli. Je bouillonais intérieurement. Je n'ai jamais voulu être un fils à papa. Je me suis alors réfugié dans mes secrets; la danse, que je pratiquais discrètement dans ma chambre, et mon groupe de métal, les Apokaliptics. Je me sentais libre, rebel, anarchiste. Je répondais aux attentes de mes parents, mais je devais aussi répondre aux miennes. Jenna Ubrovitch fut la seule vraie copine que j'eus, même si nos ébats se limitèrent à un baiser timide au coin des lèvres. Non, moi j'étais plus tourné vers les mecs. Je n'ai jamais aimé les étiquettes, mais là je peux le dire: je suis un gay dans l'âme. C'est comme ça et pas autrement. Scott a été mon premier. Il était batteur dans notre groupe, et son coup de poignée valait largement son coup de bassin, autant vous dire qu'il était très bon musicien... Bref. Je n'ai pas tardé à faire mon coming-out et à tout avouer de mes secrets à mes parents le lendemain de l'obtention de mon diplôme. Tout leur explosait à la figure et ils n'ont pas apprécié du tout ! Mon père m'a foutu dehors, et ma mère m'a totalement renié. Ils ne m'ont pas accepté, et sont même allé jusqu'à me retirer de leur testament et à détruire toutes mes affaires. Triste et détruit intérieurement, je ne me suis pas laissé abattre pour autant. C'était pour moi l'accomplissement d'une destinée déjà toute tracée si l'on peut dire. Je suis donc parti avec mes quelques économies, et un blouson sur le dos, et me suis exilé à New-York. Depuis je suis des cours à la NYADA, et j'ai rencontré un homme mure et père d'une fille de quelques années plus jeune que moi. Caleb est extraordinaire, et malgrè tous les obstacles qui ont veinement tenté de nous barrer la route, nous vivons ensemble. Aujourd'hui, je suis en spécialité chant et danse en quatrième année. Je mange trois produits laitiers par joue, et cinq fruits et légumes aussi. Je continue un peu la boxe et le violen, à mes heures perdues, histoire de pratiquer "une activité sportive régulière"... Je bosse en tant que mannequin pour des particuliers, et je goute enfin à la pleinitude d'une vie heureuse et épanouie...

Did you say it? 'I love you. I don't ever want to live without you. You changed my life.' Did you say it? Make a plan. Set a goal. Work toward it, but every now and then, look around; Drink it in 'cause this is it. It might all be gone tomorrow."

Les portes s'ouvrent enfin à mon arrêt. Je joue des coudes pour sortir de la voiture du métro et marche d'un pas assuré et constant au beau milieu de la population américiane. Bientôt je sors de la station et je me retrouve sur Brodway. Et là je me mets à rêver. J'espère y connaitre une carrière artistique assez imposante, remarquable. Quelque chose qui reste dans les mémoires et dans les coeur. Je ne sais pas vraiment ce que je vais faire, encore moins ce que l'avenir me réserve, mais une chose est sûre, je veux rester moi-même à faire ce que je fais. La danse, le chant, le show, et l'amour. C'est tout ce qui importe. Je gagne enfin le carrefour et tourne à l'angle. Ç a y est, je suis chez moi, à la NYADA... Comme le disait Marilyn Monroe: "Live your dreams, don't dream your life." J'ai longtemps rêvé ma vie, maintenant je dois la vivre et vivre mes rêves par la même occasion. J'ai trouvé l'amour. Même si je dois l'avouer la situation est un peu compliqué puisque la fille dudit amour est presque aussi jeune que moi. J'ai l'impression d'être en compétition. Je sais qu'il ne nous porte pas le même amour, et que ça fille passera toujours avant moi. Quoi qu'il en soit, les débuts ont été très durs, aujourd'hui ça va beaucoup mieux.

« Arts dramatiques ? »

La danse c'est ce qui m'a permit de survivre. Non, je n'étais pas suicidaire. Loin de moi cette pensée sombre. Non, c'était juste mon exutoire, ça et mon groupe de métal. C'est logiquement ce qui m'a poussé à intégrer une école d'arts et de musique. J'avais déjà commencé à développer mon gout et mon don pour cette discipline avec le violon. Aujourd'hui, tous mes efforts se concrétisent dans mon cursus à la NYADA, cette immense et préstigieuse école de renommée mondiale. Mon esprit de compétition est un avantage. Les gens sont sympas, je ne dis pas, mais c'est un véritable monde de requins. Ici c'est un peu "marche ou crève" sur les bords, mais bon, on s'en sort comme on peut. Temps que l'on est motivé, ça passe. Pour ma part je suis plus que ça, je suis passionné, vraiment ! Et cette école est ma maison, mon foyer... Je m'y sens bien, à l'abri. Je peux m'exprimer librement à travers les matières que j'apprends, et je peux me permettre de rêver un peu aussi. J'espère réussir !

Congratulations !

Félicitation Matthew Spencer, tu fais maintenant officiellement partie des Spécialité danse moderne !

Tu peux maintenant aller recenser ton avatar et recenser ton double compte ( enfin seulement si tu es un double compte, sinon oublie cette partie, quoi qu'elle puisse t'être utile afin de savoir qui est qui sur le forum ). Si tu en as envie, tu peux également créer un ou plusieurs poste(s) vacant(s) en appliquant évidemment le modèle de fiche de scénario. Histoire de bien t'intégrer sur le forum, tu peux également, si tu en as envie bien sûr, faire ta fiche de liens ainsi que ta fiche de Rp. Histoire de ne pas laisser ton personnage sans toit au dessus de la tête, je te conseillerai d'aller remplir la demande de logement. Tu as également la possibilité de faire une demande de rang si tu en a envie. Si jamais tu as un petit soucis de mémoire durant le jeu, tu pourras te référer à ce sujet : il récapitule tous les personnages et leur spécialité/options. Si tu vois que l'on a oublié, n'hésite pas à le signaler, tu trouvera plus de détail dans le sujet ! Tu peux également t'amuser à rédiger des souvenirs de ton personnages dans la partie flashback, mais ce n'est évidemment pas obligatoire, rassures toi ! Voilà, il me semble n'avoir rien oublier...

Bon jeu sur le forum, amuses toi surtout !!!