Bonjour moi je m'appelle Aaron Josh Grayson. Actuellement j'ai 18 ans ans, d'ailleurs le jour de ma venu au monde était le 6 décembre à Venise.On m'a souvent dit que je ressemble à Joey Richter. De moi on dit que je suis sympa, fêtard, dragueur, fou-fou, joyeux, beau gosse. De plus, mon coeur est libre, mes amis m'ont donné un petit surnom qui est :Joe. J'ai oublié de vous le dires mais ça peut vous intéressez peut être : je suis célibataire. Actuellement j'étudie à la NYADA. Mais j'ai aussi un secret je suis un spécialité théâtre.

Moi en réalité, derrière ce pc je m'appelle Auriane/Drachel. Actuellement j'ai 16 ans, j'ai découvert le forum parce que je suis votre pire cauchemar : la fondatrice. De moi on dit que je suis chiante, énervante, bonne conne, timide, sympa. D'ailleurs j'ai trouvé le forum très beau en tout cas je suis bien contente d'être tombé dessus ! Ah j'ai aussi a vous dire que je vous aime ! Pour finir, le code du règlement est okay by me.

Mon caractère hein ? Voyons voir... je pense être un gars plus sympa. Je ne suis pas de ceux qui font du mal juste pour le plaisir, dans le genre de se moquer, de jouer avec les autres, de manipuler... enfin, pas la peine de dresser la liste complète, vous savez de quoi je parle... Mais je ne peux nier le fait que je suis un dragueur. Comme tous les mecs je suppose... en tout cas, j'en ai jamais croisé un qui ne le soit pas un tant soit peu ! Et puis sans vouloir être vantard ( non, je ne le suis pas ), je suis quand même beau gosse dans mon genre nan ? Ce serait bête de perdre autant de charme... Remarquez, mon charme ne m'a toujours pas apporté de petite amie, du moins pas sur une relation durable... ouais, bienvenue dans le complet désastre de ma vie amoureuse, et le premier que j'entend me traiter de loser, qu'il aille brûler en enfer ! Pourtant je croyais que toutes les filles aimaient les italiens...
Bref ! En dehors de cela, je suis quelqu'un d'assez joyeux, j'aime faire la fête, mais pas à en finir ivre, ou du moins très rarement... disons qu'une fois je me suis pris une bonne cuite et que je me suis maudit le lendemain matin. Et puis c'est pas pour dire, mais je peux pas toujours faire la fête moi, j'ai du boulot ! Sauf que cela... en général, cela fait partie des choses que j'évite de dire sur moi. Bah oui, je suis comme tout le monde, j'ai mes petits secrets... et j'évite d'en parler. Quand je le peux. Mais je crois que ça marche plutôt bien !

Je suis Josh Grayson et j'ai 21 ans. Je viens de Brooklyn, et à ce que certaines personnes m'ont dit, ça se voit... je ne suis pas certain que ce soit un compliment. Mais... les choses sont un peu plus complexes que cela. Tout d'abord non, je ne suis pas né à Brooklyn, même si je viens de vous dire que je venais de ce quartier de New York City. Si j'en crois les papiers relatifs à ma naissance et celle qui m'a servi d'assistante sociale, je suis né à Venise, en Italie donc. Et oui, je suis italien, c'est pas beau ça ? Mais ma naissance n'était visiblement pas désirée puisque j'ai été abandonné aussitôt  sorti du ventre de ma mère. De ce que j'en sais, tout avait été prévu : ma mère me gardait jusqu'à terme, elle accouchait, et m'abandonnait. Ils avaient trouvé un couple qui aurait dû me recueillir, malheureusement pour moi il y a eut des complications. Je ne sais pas si mes parents biologiques le savaient ou non, mais si ils en ont été informés, ça n'a pas eut l'air de les inquiétés. D'un autre côté, s'ils avaient décidés de m'abandonner, ce n'était sans doute pas par hasard, c'est bien parce que ce qui pouvait m'arriver ne les intéressait pas. Quoi qu'il en soit, il y a donc eut des complications, et le couple qui avait accepté ma garde se sont désistés, parce qu'en général, les gens veulent des bébés en bonne santé, histoire de leur donner moins de travail je suppose, ou alors c'est juste de la répugnance à savoir que le bébé a besoin de soins. Ou encore la non envie d'avoir à payer des soins pour un enfant qui n'est même pas le sien, mais dont ils avaient pourtant envie. Je me demande si ils auraient laissé leur propre enfant, si ce dernier avait eut le même problème que moi en naissant.
J'ai donc passé mes premières semaines à l'hospital, intubé, la totale. Et ensuite... direction l'orphelinat, c'était à l'Etat de me prendre en charge. J'ai quasiment grandis là bas, sauf quand on me trouvait une famille d'accueil. Mais en général, cela se finissait mal. J'étais trop jeune pour me souvenir du pourquoi on me renvoyait à l'orphelinat, mais une chose est certaine, c'est que je n'avais pas d'autres choix. J'ai donc grandit avec les autres enfants abandonnés, je voyais constamment des vas et vient, des petits ou des plus grand qui intégraient l'établissement, d'autres qui rejoignaient leur famille d'accueil, et parfois, quelques temps plus tard, qui revenaient. Il ne faut pas croire, l'orphelinat, c'est comme les maisons de retraite : on n'y est pas heureux. Mais les gens préfèrent souvent se dire " ils sont bien soignés là bas ", pour se donner bonne conscience. C'est vrai que souvent, on est mieux à l'orphelinat qu'entre les pattes d'un vieux pervers, mais ce n'est pas pour autant que l'on y est heureux. Et pourtant, c'est souvent là que l'on passe le plus clair de notre vie d'enfant, en espérant soit réussir à se faire émancipé lorsque l'on aura atteint l'âge, soit trouver une famille au minimum acceptable chez qui on vivra sans avoir à repasser par la case " Assistante sociale ". Mais seuls les plus chanceux d'entre nous trouvent ce genre de famille. On ne demande même pas une famille modèle, super cool, qui nous traitera comme leur enfant. On demande juste une famille... qui nous acceptera, ne nous fera pas de mal. Mais visiblement, les assistances sociales ne sont pas bien leur boulot, car la plupart de ces familles ne devraient pas avoir le droit d'héberger un enfant, que ce soit le leur ou celui d'un autre.
Aux alentours de mes 9 ans, la famille d'accueil où j'étais a déménagé à Seattle. J'avais déjà fait trois familles jusqu'ici, et elle semblait être la meilleure. Disons que cela changeait des mères alcoolos et des pères pas très nets. J'avais même de la chance d'être un mec... quoi qu'il en soit, j'ai demandé à partir avec eux, et comme de toute manière mon dossier avait déjà changé de main plusieurs fois, l'assistance sociale n'y a pas vu d'objection. Mais en fait... cette famille d'accueil ne valait pas mieux que les autres. Les parents étaient snob, prétentieux, et je devenais un domestique. Et encore. Être leur domestique ne m'aurait pas dérangé si j'avais eut droit à un peu de respect, mais non. J'étais bon pour dormir à la cave ( ou dans le grenier, quand j'avais de la chance ), j'étais humilié, on me parlait comme à un chien, et encore, même un chien mérite d'être mieux traité ! C'est cette expérience qui m'a permis d'être si doué en ménage et en cuisine ! Et puis, hey, je suis italien tout de même ! Mouahahahah ! Bref, je suis retourné à l'orphelinat, sur ma propre demande, et c'était reparti pour une nouvelle assistante sociale, une nouvelle recherche de famille, et de nouvelles années dans cet endroit. Une fois que vous avez vu un orphelinat, vous avez vu tous les autres, croyez moi. Donc pour moi, il n'y avait aucune différence. Quelques jours après mon arrivée au nouvel enfer, une petite fille de mon âge entrait elle aussi. J'appris ensuite qu'elle ne faisait que revenir... encore. Comme moi en somme. Nous sommes devenus très amis, mais je me sentais mal pour elle. Son expérience était pire que la mienne, et elle ne pouvait qu'espérer quelque chose qu'elle savait ne jamais voir arriver. Bienvenue au club... Quoi que. Moi j'avais bon espoir. Trop optimiste. J'ai fini par trouver une nouvelle famille d'accueil, crasseuse, déprimante à souhait. Disons que petit à petit, au fur et à mesure je me suis rapproché de New York, jusqu'à finir à Brooklyn. Lorsque j'ai eu 16 ans, j'ai fais une demande d'émancipation, qui m'a été refusée. Alors je suis retourné à ma famille d'accueil... j'en avais marre. Sincèrement. Marre des écoles miteuses, de vivre dans un quartier infréquentable, dan une maison qui tombe en ruine et qui ressemble à une porcherie. Alors j'ai cherché du boulot, dans le dos de ma mère d'accueil. Si elle l'avait su, soit elle aurait exiger une partie de mon argent, soit elle m'aurait viré, or je n'avais nul par où aller. J'ai fais des recherches et un jour où je parcourais les petites annonces, une femme qui aurait facilement pu être ma mère... quoi qu'un peu plus jeune tout de même, m'a abordé en me demandant si je cherchais un travail. On a un peu discuté, et elle m'a donné une adresse où me présenter. En ce qui la concernait, j'étais engagé. Mais il fallait voir cela avec sa fille. Quelques jours plus tard je sonnais à la porte de la dame en question. Personne ne répondit tout d'abord, si bien que je pensais partir lorsque la porte s'ouvrit, laissant apparaître celle qui devait probablement être la femme de maison. Elle cru à une erreur, puis voulu me renvoyer, me disant qu'il y avait erreur, je n'étais pas du bon sexe. J'ai plaidé ma cause, et sa mère est arrivée, ainsi que son petit garçon, qui sembla m'adopter tout de suite. Enfin pour résumé, j'ai fini par avoir le job ! Je pouvais même habiter là... elle connaissait ma situation, c'est pour cela qu'elle me l'avait proposé. Le temps de régler les choses, j'étais partis dire à ma mère d'accueil que je ne voulais plus vivre dans son trou à rat et que je partais. Elle s'est fait une joie de descendre vite fait bien fait toutes mes valises, et voilà que j'emménageais chez Mme Bower, qui est devenue vite plus mon amie que ma patronne. J'ai refais une demande d'émancipation, que j'ai obtenu cette fois, grâce à l'aide de Mme Bower. J'ai continué le lycée, payant avec l'argent que je gagnais. A dire vrai, je gagnais plus que toutes les bonnes du quartier, parce que même en " présence réduite ", j'arrivais toujours à tenir la maison propre. Puis un jour, elle m'a demandé ce que je penserais de la NYADA... que de mon côté, je ne connaissais que de nom et que je savais ne pas pouvoir me payer. Mais elle a insisté pour me la payer, me disant que je ne devais pas considéré cela comme un don mais comme un prêt qu'elle retiendrait petit à petit sur mon salaire. C'était cela ou je refusais catégoriquement en même temps... et voilà comment j'ai intégré la NYADA et comment je me suis retrouvé comédien, homme de ménage et orphelin... pas forcément dans cet ordre. Ca se fini plutôt bien vous ne trouvez pas ?